Le Metaverse et la banque : itération de l’ancien modèle ou nouveau cas d’usage

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Le Metaverse restera pour 2022 le « Buzz » de toutes les conversations et publications médias.

Pour certains ce buzz aurait tout à voir avec une information « Bullshit » dont il est annoncé que nous allons en revenir !

Le Metaverse repose sur des couches de plusieurs technologies associées à la décentralisation du Web3 ou les « Uses-Cases » se multiplient.

C’est de ces différents « Uses-Cases » qui tous s’expérimentent sous nos yeux que cette technologie crée sa valeur et son utilité par type de « métiers ».

Les « Uses-Cases » de la Banque dans le Metaverse sont aussi à construire comme ceux du « Retail virtuel », de « l’évenementiel » du « ESport », et toutes les idées sont bonnes pour réfléchir et créer quel que soit l’activité et le métier le Metaverse ouvert et inclusif de demain.

I) Pourquoi cet article ?

II) Petit rappel sur ce qu’est le Metaverse :

II-1) Donc « que vient faire la banque dans cet univers », ou lieu purement virtuel aux caractéristiques suivantes :

III) Le premier cas d’usage Metaverse pour une banque : asseoir une visibilité concurrentielle :

IV) Le second cas d’usage du Metaverse pour une banque : l’expérimentation et l’image de marque.

IV -1) L’expérimentation et l’apprentissage :

IV- 2) Concernant les placements financiers lorsqu’ils rentrent dans les activités de la banque :

V) Le troisième cas d’usage du Metaverse pour une banque : la finance numérique

V-1) Comment ?

V-2) Le NFT instrument de crédit numérique :

VI) Brève conclusion :

 

I) Pourquoi cet article ?

L’idée de cet article m’est venue en consultant le profil LinkedIn d’un contributeur qui a lancé le débat suivant :

(Post LinkedIn de Habib Bakhouch #banque #Metaverse).

  • La possibilité de voir son banquier dans le Metaverse n’est-ce pas une belle voie qui s’ouvre pour le secteur ?

Le Post se terminait par une proposition pour répondre à un sondage :

Quel modèle bancaire vous conviendrait le mieux dans les 10 prochaines années ?

En pourcentage les réponses ont été les suivantes :

  • Banque physique : 20 %
  • Banque en ligne : 59 %
  • Banque dans le Metaverse : 21 %

Le sondage a été publié la dernière semaine du mois de juillet juste avant l’article sarcastique de Vitalik Buterin sur l’échec annoncé du modèle Metaverse de Meta, selon lui.

Mais on aurait pu penser que les réponses « positives » seraient  plus importantes au regard de l’engouement dont bénéficie le Metaverse depuis près d’un an.

Mais hasard du calendrier les réponses ne sont-elles pas en résonance d’un « bruit de fond » dans les différentes publications ici et là où semble se lever sur la nouvelle « Metanomics » du Metaverse associé au fameux Web3 et à la Blockchain quelques dissonances sur une réelle appropriation de la valeur économique au profit des utilisateurs.

Il nous est apparu intéressant de « creuser » un peu plus le sujet avec vous notamment pour les entreprises, banques ou non, à la recherche de modèles économiques pour se lancer dans le Metaverse.

II) Petit rappel sur ce qu’est le Metaverse :

Il n’y a pas à ce jour de définition universelle du Metaverse sauf à s’accorder sur les caractéristiques suivantes :

Le Metaverse est un assemblage de couches technologiques qui permettent de présenter à l’utilisateur un « espace virtuel » grâce aux fonctionnalités de la Blockchain et à la puissance de calcul et de stockage de serveurs décentralisés.

Ses caractéristiques principales décrites plus longuement dans un article précédent sont :

L’éphémérité de la communication virtuelle de l’espace Metaverse partagé qui reposera beaucoup plus sur la parole même si des messages et des communications écrites sont possibles aussi.

L’incarnation : c’est-à-dire que dans l’espace virtuel du Metaverse on ne vient plus uniquement pour taper un clavier ou regarder un écran.

  • On vient pour s’incarner à travers notre « physicalité » qui sera représentée par un avatar.
  • Cette notion nouvelle de physicalité » qui va devenir une « science d’étude comportementale » à part entière.
  • La physicalité représente en les additionnant l’ensemble des expériences visibles, tangibles et donc mesurables d’une entité, ici l’avatar, qui va se définir par rapport à ses caractéristiques.

L’immersion : c’est-à-dire que la technologie permet par l’intermédiaire de l’avatar de « communiquer » et « interagir » dans « l’instant » dans un espace « immersif » qui se « vit » au lieu de se « lire ».

II-1) Donc « que vient faire la banque dans cet univers », ou lieu purement virtuel aux caractéristiques suivantes :

  • Univers Meta : qui permet grâce à l’ordinateur d’aller au-delà de la vie réelle alors que la relation avec un banquier est justement fondé sur « la matérialité » et pour le moins l’incarnation physique.
  • Univers Persistant : qui continue à exister même après sa déconnexion
  • Univers Immersif : Pour des interactions « virtuelles » en temps réel,
  • Univers Interactif : pour des interactions et des contributions virtuelles entre les participants à un événement.
  • Univers Interconnecté: pour passer au travers de multiples univers physiques et/ou numériques.

III) Le premier cas d’usage Metaverse pour une banque : asseoir une visibilité concurrentielle :

C’est ce qu’on fait dans l’instant les banques les plus connues comme :

(Les exemples cités sont issus de l’article publié par « intoTheMinds » en lien cliquable ici à consulter)

  • P. Morgan,
  • HSBC,
  • Standard Chartered,
  • Caixa,
  • Siam Commercial Bank (SCB), banque thaïlandaise,

 Le présent inventaire ici ne tend pas à l’exhaustivité, car tout l’intérêt est surtout la « roadmap » de ces établissements d' acheter leurs Lands dans des Metaverses.

C’est aussi simple qu’évident, il s’agit pour ces premières banques pionnières d’atteindre un avantage concurrentiel de visibilité à venir.

Les espaces Metaverses les plus connus comme « Decentraland » et « The Sandbox » proposent pour leurs espaces des finalités mixtes c’est-à-dire :

  • Sans doute une finalité orientée vers le gaming,
  • Mais aussi de l’événementiel pour toutes sortes d’activités,

Mais leurs espaces Metaverses sont construits avec une logique de valeur de type « Bitcoin » fondée sur l’organisation interne de la rareté.

Ces 2 éditeurs construisent leurs Metaverses en offrant la mise à disposition d’un nombre d’un nombre de « Lands » limités.

C’est cette raréfaction qui constitue le « Graal du Metaverse » :

  • Avoir un droit d’accès acquis à un land (achat ou location),
  • Avec la garantie d’un espace de trafic optimisé,

Pour exemple, la banque J.P. Morgan a installé son espace commercial virtuel sur Decentraland dans le centre commercial virtuel assez prisé semble-t-il de « Metajusku » !

Dans le Metaverse la notoriété du « quartier » ou « espace territorial » du land est le vecteur principal de la valorisation de cet actif numérique.

Donc dans des univers à terme « fermés » pour l’accès à la propriété d’un espace virtuel l’enjeu d’une acquisition est primordial.

Ce avec des effets préoccupants en termes de « concurrence » pour les effets conférés au « premier entrant » ou « first mover advantage ».

Nous reviendrons sur ces enjeux importants.

A l’heure où se lève aussi bien en France que sur le territoire de l’Union Européenne la préoccupation de la préservation de la « souveraineté numérique » des états, ce principe du « first mover advantage» dans la course à l’acquisition du meilleur emplacement n’est pas sans poser de réelles interrogations justement.

Comment organiser au bénéfice de tous et donc du consommateur final l’accès à ces nouvelles infrastructures essentielles pour l’activité économique des entreprises situées elles dans un véritable état qui à vocation à prélever taxes et impôts sur l’activité économique.

Sans doute la construction d’un Droit de la concurrence appliqué au Metaverse et à ses modalités d’accès va émerger, et ce rapidement.

IV) Le second cas d’usage du Metaverse pour une banque : l’expérimentation et l’image de marque.

 

IV -1) L’expérimentation et l’apprentissage :

 Le Metaverse ne se conçoit pas comme un « site Web 2 augmenté », mais bien comme un « lieu virtuel à part » pour faire vivre des expériences virtuelles et dématérialisées.

Par contre l’interopérabilité pour passer de l’espace Metaverse de la banque à son site classique Web2 doit faire partie du projet.

En cela pour la banque l’usage de l’espace virtuel est idéal pour construire de la « valeur future ».

C’est bien comme cela que commencent à le comprendre les établissements pionniers.

Cet espace interactif pourrait aussi être un lieu virtuel d’acculturation pour les clients et usagers afin de mieux appréhender le contexte de la distribution par une banque des crédits, et des placements financiers lorsqu’elle exerce cette activité également.

Ainsi le Metaverse ne serait t'il  pas l’endroit idéal pour permettre à une banque d’expliquer comment par exemple s’établissent ses scorings d’octroi de crédit par exemple ?

Ce en sortant des généralités pour accueillir dans l’espace la personne concernée et faire son étude individualisée sur son scoring de crédit en immersion interactive.

Ce en lui expliquant comment notamment par l’Open Banking elle a pu profiler son client, ce qui est tout à fait légal.

Tout autant que ceci soit expliqué de manière transparente et reçoive l’accord de la personne concernée par le profilage.

Cette transparence sur les modalités du traitement des données de multiples provenances (Open Banking) est, on ne le souligne jamais assez, est une obligation pour la licéité du traitement au sens de l’article 12 du RGPD.

  • Savons-nous vraiment comment notre profil est établi par notre banque ?

Ceci permettrait aux banques de s’approprier davantage le périmètre exact de leurs obligations en matière de prise de décision automatisée notamment en matière de crédit par application de l’article 22 du RGPD.

Cet article reste encore le plus mal connu du RGPD tant d’ailleurs du point de vue des personnes concernées par ces traitements pour un exercice effectif de leurs droits, que par les responsables de traitement pour les en informer.

Ainsi le Metaverse pourrait être l’endroit idéal pour rendre interactif donc beaucoup plus intelligible :

  •  L’énonciation des garanties et droits des personnes concernées par la prise de décision automatisée, quelle qu’elle soit, en application du § 3 de l’article 22 du RGPD.
  • Et surtout le client pourrait être acteur aux côtés de son interlocuteur de la banque du montage en direct de son dossier de crédit pour le défendre notamment devant le comité de crédit interne.

Nous reviendrons sur ces points importants, car cette année le Laboratoire d’Innovation Numérique de la CNIL (le LINC), a beaucoup travaillé et produit des publications de très grandes qualités sur le profilage des personnes à partir de grands ensembles de mégadonnées issues de collecte Big Data !!!!

IV- 2) Concernant les placements financiers lorsqu’ils rentrent dans les activités de la banque :

Le Metaverse n’est-il pas l’endroit idéal pour :

  • Rendre intelligible aux futurs investisseurs par exemple le contenu obligatoire du DICI (document précontractuel d’information devant être remis à l’investisseur préalablement à la souscription de son investissement).

Ou

  • Expliquer le fonctionnement par exemple d’un OPCVM (organismes de placement collectif en valeurs mobilières) et surtout l’illustrer de manière interactive en présentant l’activité des entreprises générant la valeur du fond.

Les entreprises ont un besoin actuel urgent de financement sur les marchés financiers.

Pour que les particuliers reprennent confiance pour investir leurs économies aussi dans la CeFi (Finance Centralisée), et pas uniquement sur des protocoles DeFi, il faut pour les banques de nouveaux modes de communication.

 L’expérience Metaverse pourrait permettre grâce à une organisation d’événements et d’interactions entre celle-ci et ses clients de mieux faire comprendre les mécanismes des placements financiers.

Et si le Metaverse appliqué à la banque devenait un des moyens essentiels pour mieux faire comprendre justement :

  • L’utilité des marchés financiers,
  • Alliée à l’importance du rôle de ses acteurs dont font partie les investisseurs quels qu’ils soient (gros ou petits),
  • Et ainsi de réconcilier l’économie, et sa financiarisation

Enfin la visibilité pour une banque d’un espace Metaverse reste un avantage concurrentiel considérable dans l’organisation d’une image de marque et d’une stratégie marketing à fort potentiel.

V) Le troisième cas d’usage du Metaverses pour une banque : la finance numérique

Au terme d’un second article publié par « Cointribune » il apparaît que les banques les plus offensives dans le Metaverse sont naturellement les Fintechs ou néo banques

Parmi celles-ci l’article précité présente « Zelf » comme « une des banques du Metaverse » qui en a parfaitement compris les enjeux technologiques.

En effet c’est en 2020/2021 qu’apparaît vraiment la recherche massive de l’obtention de revenus complémentaires par l’intermédiaire des actifs numériques.

V-1) Comment ?

Par le Play-To-Earn (P2E), grâce à l’essor du NFT au-delà de sa première utilisation native, le « monde de l’art ».

Le Play-To-Earn en résumé c’est le fait de pouvoir à partir d’actifs virtuels représentés sous la forme de NFTs de se connecter sur une plateforme Web3 grâce à un portefeuille de cryptomonnaie pour pouvoir acheter des « personnages de jeux », ou les « construire » pour ensuite :

  • D’abord jouer gagner des récompenses,
  • Ensuite les revendre,

Ceci indéfiniment tout autant que dure l’appétence du joueur au Gaming.

La Tokenomics assez disruptive de la banque « Zelf » consiste à prendre très au sérieux le modèle économique du « Play to Earn » en renouvelant ainsi l’offre de service crédit par :

  • Le Buy-Now-Play-Later(BNPL)

Il s’agit d’un type de financement permettant de faire des achats en les payant à une date ultérieure, avec ou sans intérêt selon la politique du créancier.

Mais le « Business Model » du nouveau « crédit numérique By Metaverse » reste largement influencé par les anciens cas d’usage de la CeFi ou « finance centralisée ».

Dans le financement du « Play-to-earn » le « joueur-emprunteur » se voit attribuer le cas échéant un scoring de crédit en fonction de l’évaluation de ses compétences au jeu et de son profilage, ou du moins justement de celui de son avatar !

Où l’on voit que par rapport aux propos ci-dessus l’article 22 du RGPD a bien toute sa vocation naturelle à s’implémenter dans le Metaverse pour protéger le « joueur-emprunteur ».

Cette nouvelle économie ou industrie du « crédit bancaire by Metaverse » est portée par les distributeurs de monnaie électronique soumise à l’article L525-8 du code monétaire et financier (CMF).

 Le distributeur de monnaie électronique peut :

  • Diffuser des moyens de paiement électronique comme les cartes prépayées,

Ou

  • Réaliser le chargement de cette carte prépayée ou l’approvisionnement d’un compte dématérialisé accessible via Internet ou une application mobile.

Ces activités sont régulées sous l’égide et la surveillance de l’APCR (Autorité de contrôle prudentiel et de résolution) qui a vocation à surveiller les distributeurs de monnaie électronique par la délivrance d’un agrément.

D’où l’intérêt pour une banque et/ou Fintech dans le Metaverse est donc de négocier des partenariats de référencement avec les plates-formes Play To Earn.

D’autant que le client Play To Earn peut ainsi être fidélisé ensuite hors Metaverse par la banque pour d’autres concours.

V-2) Le NFT instrument de crédit numérique :

 Au-delà du financement du Play To Earn « By Metaverse » on assiste aussi à l’émergence depuis 2022 de la financiarisation du NFT sur des plates-formes dédiées comme, par exemple :

  • NFTfi ou Arcade qui permettent la mise en gage de leur NFT pour obtenir des crédits.

À ce sujet nous y reviendrons mais nous attirons l’attention du lecteur sur le fait que les émetteurs de NFTs doivent donc bien veiller à assurer et asseoir la valeur intrinsèque du sous-jacent du NFT.

S’il est vendu, il peut être destiné à partir du marché secondaire à servir d’instrument de crédit.

Sa valeur intrinsèque soit le sous-jacent, ses métadonnées d’usage et sa maintenance technologique en cas de représentation d’image notamment doit être garantie par le créateur d’origine et tous les revendeurs potentiels.

Toutes ces activités nouvelles pour les banques constituent les nouveaux cas d’usage du Metaverse qui sont nombreux déjà.

VI) Brève conclusion :

Qui dans ce combat vers l’appropriation des parts de marché du « crédit et/ou services By Metaverse » va gagner entre les banques classiques CeFi et les Fintechs et autres « néos banques » ?

En tout cas au-delà de la surveillance par lACPR et si nécessaire de l’AMF pour ces diverses entités, une nécessaire régulation plus poussée va s’inviter dans la « Metanomics » (économie du Metaverse) et la « Tokenomics » (économie du jeton ou token) notamment par le prisme du Droit de la consommation, et des Droits fondamentaux.

Ce qui se joue ici dans ces nouvelles formes de crédit c’est la problématique du « droit à l’emprunt » et de son coût proportionné qui permette le remboursement.

Les enjeux sont grands, et relèvent aussi de la préservation des fondamentaux d’une société démocratique.

D’une certaine manière d’ailleurs la mise en demeure reçue par Sorare par l’Autorité Nationale des Jeux (ANJ) révèle en creux des enjeux beaucoup plus profonds que la problématique de la législation sur les paris sportifs.

Nous y reviendrons très prochainement parce que cela pose, sans aucun doute bien qu’indirectement, la question de la protection du consommateur de « jeux » et/ou de « paris » contre des comportements addictifs incluant, au sens très large, la finalité de protéger les intérêts patrimoniaux de l’utilisateur/joueur. 

Quelle est la proportion du « gain réel » comparé notamment à la réalité de la propriété numérique « espérée » en regard des sacrifices financiers pour constituer notamment les équipes de jeux ?

Ainsi par rapport au sondage publié sur le post LinkedIn précité au début de ce mois d’août on s’aperçoit que la pénétration des banques dans le Metaverse est déjà là.

Un nouveau modèle de la distribution du « crédit numérique » et de la « monnaie électronique » se construit sous nos yeux.

L’enjeu du Metaverse est important pour toute entreprise qui veut protéger sa notoriété sa visibilité et au sens très large son activité.

Mais un investissement dans le Metaverse notamment par un achat de land, ou la mise à disposition de moyens de paiement électronique pour les utilisateurs de l’expérience, ne peut s’improviser et doit s’accompagner d’une démarche juridique sérieuse.

Je me propose de vous accompagne sur cette voie enrichissante de la nouvelle économie générée par le Web3 pour vous permettre d’avancer en confiance vers le succès.

Par ailleurs le cabinet est spécialisé dans l’accompagnement des responsables de traitement dans les techniques de profilage et se fera un plaisir d’accompagner tout responsable de traitement, notamment les banques, dans leur démarche Metaverse pour participer à leurs côtés à la compliance de leurs traitements et prise de décisions automatisées.

Article publié le 04 Aout 2022

 

Véronique RONDEAU-ABOULY

 Avocat Blockchain et DPO externe.

 

La rédaction de cet article a été conçue et organisée pour vous soumettre des informations utiles, des axes de réflexion pour une utilisation personnelle ou à visée professionnelle.

 

Il est mis à jour régulièrement, mais dans un contexte réglementaire et jurisprudentiel évoluant, nous soulignons que nous ne pouvons être responsables de toute péremption du contenu, ou de toute erreur juridique et/ou inexactitude qui pourrait se révéler en fonction de l’évolution,  le lecteur voudra bien considérer qu’en tout état de cause, pour une application personnalisée, chaque cas est unique et que bien sûr, le cabinet reste à votre disposition si vous avez une question précise à poser en lien avec cet article, nous nous ferons un plaisir de collaborer avec vous, n’hésitez pas à prendre contact ou à nous téléphoner.

 

Mots Clefs :

Blockchain – Web3 – NFT -Metaverse-Avatar -Banque-Fintech

Monnaie Electronique- Physicalité- Open Banking- Profilage 

 

Crédits photos : Istock.com : Andrey Suslov

Illustration sonore : Musique de Guazu

Titre : Guazu

Sourcehttps://shikashika.bandcamp.com/album/guaz

Licencehttps://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr

Voix du commentaire sonore avec son aimable autorisation : Florence Dell’Aiera